Annette Wieviorka è una storica francese il cui lavoro si concentra sulla Shoah e sulla storia ebraica del XX secolo. La sua esperienza in questo campo si è approfondita dopo la pubblicazione della sua tesi di dottorato. Wieviorka approfondisce le complessità della memoria e dell'oblio relative a questi eventi storici cruciali. Il suo approccio alla scrittura esamina il profondo impatto degli eventi storici sulla coscienza collettiva e individuale.
What is the role of survivor testimony in Holocaust remembrance? Today such recollections are considered among the most compelling and important historical sources we have, but this has not always been true. In The Era of the Witness, a concise...
A l'occasion du soixantième anniversaire de l'ouverture du camp d'Auschwitz par l'Armée rouge, A. Wieviorka pose un regard d'historienne sur ce que fut la réalité des camps de concentration d'Auschwitz-Birkenau (construction, évolution, fonctionnement...). Une étude pour mieux comprendre les enjeux polémiques qui naissent autour de sa mémoire et donner un sens au camp-musée qu'il est devenu.
Le 27 janvier 1945, les soldats de l'Arme rouge entrent dans l'immense complexe d'Auschwitz. Le 18 octobre 2002, les ministres europens de l'Education, runis au Conseil de l'Europe, dcident d'tablir dans les tablissements scolaires des 48 pays signataires de la Convention culturelle europenne, une journe " la mmoire de l'Holocauste et de la prvention des crimes contre l'humanit ". La plupart des pays - dont la France - ont choisi la date anniversaire de la libration des camps d'Auschwitz. Le nom d'Auschwitz s'est impos la conscience universelle comme le symbole de la Shoah et comme celui du mal absolu. Parce que le devoir de mmoire est une coquille vide s'il ne s'accompagne pas du devoir de connatre, cet ouvrage, qui rassemble les articles publis dans L'Histoire par les plus grands spcialistes - franais et trangers -, prsente et analyse les diffrentes tapes du gnocide des Juifs, en s'arrtant sur les mcanismes de l'extermination, le rle des bourreaux, celui des complices, celui des spectateurs, et enfin sur la construction de la mmoire du gnocide.
Allemagne, octobre 1945. Les puissances victorieuses de la Seconde Guerre mondiale s'apprêtent à juger les crimes commis par les nazis. Durant un an défileront devant une cour internationale des responsables de l'Allemagne hitlérienne, sous les yeux attentifs de la presse du monde entier. S'appuyant sur de nombreux documents et témoignages consignés au moment du procès, Annette Wieviorka présente une vision d'ensemble de cet événement majeur du XXe siècle, depuis sa genèse - problématique - jusqu'aux répercussions considérables qu'il eut sur la conception d'une justice internationale.
Autorka sa vo svojej knihe Deťom o Osvienčime formou odpovedí na otázky svojej trinásťročnej dcéry pokúša osvetliť najtemnejšiu udalosť v dejinách 20. storočia — Osvienčim.
Buchenwald, Dachau, Bergen-Belsen… Die Entdeckung der nationalsozialistischen Konzentrationslager durch die Alliierten im April und Mai 1945 erfolgte zufällig auf dem Vormarsch der Truppen. Die Befreiung der Häftlinge war kein erklärtes Kriegsziel und deshalb nicht geplant. In jedem Lager fanden die Alliierten die ausgezehrten Körper der Überlebenden und die von den Nazis hinterlassenen Leichenberge. Zwei Kriegskorrespondenten gehörten zu den ersten, die die nationalsozialistischen Konzentrationslager betraten: Der US-amerikanische Schriftsteller und Journalist Meyer Levin und der französische Fotograf der Nachrichtenagentur AFP Éric Schwab. Beide folgten in einem Jeep der Vorhut der US-Armee und beide befanden sich auf der Suche: Der erste suchte das, was von der jüdischen Welt übrig geblieben war, der zweite suchte seine deportierte Mutter. Was sie vorfanden, zerstörte all ihre Hoffnungen, aber sie dokumentierten die ersten Momente der Entdeckung jenes Verbrechens, dessen Schockwellen die Welt erschüttert haben.
Le récit d’un événement qui a bouleversé le monde, par la meilleure spécialiste de la mémoire du génocide des Juifs.« Nous savions. Le monde en avait entendu parler. Mais jusqu’à présent aucun d’entre nous n’avait vu. C’est comme si nous avions enfin pénétré à l’intérieur même des replis de ce coeur maléfique. »Buchenwald, Dachau, Bergen-Belsen... La découverte des camps de concentration nazis par les Alliés en avril et mai 1945 se fit au hasard de la progression des troupes. Libérer les déportés n’était pas un but de guerre et rien ou presque n’avait été prévu pour eux. Dans chaque camp où ils pénètrent, les soldats alliés découvrent les corps décharnés des survivants, les pyramides de cadavres laissés par les nazis.Correspondants de guerre, deux hommes sont parmi les premiers à entrer dans cet enfer. Le premier s’appelle Meyer Levin. Il est américain, écrivain et journaliste. Le second est un Français : Éric Schwab est photographe de l’AFP. Tous deux circulent à bord d’une Jeep aux côtés de l’armée américaine. Tous deux sont juifs. Tous deux sont animés par une quête obsédante : le premier recherche ce qui reste du monde juif, le second recherche sa mère déportée.À leurs côtés, nous vivons les premiers moments de cet événement immense dont l’onde de choc n’a cessé d’ébranler la conscience mondiale.
Comme l'a montré le procès Papon, abordé à la fin du livre, le rapport entre témoignage individuel et connaissance historique est ambigu. Dans le domaine du témoignage, l'auteur distingue trois périodes : le témoignage légué par ceux qui n'ont pas survécu au génocide; l'émergence de la figure du témoin avec le procès Eichmann, en 1961; le triomphe de la mémoire sur la connaissance
Wie will man einem jungen Mädchen vermitteln, dass die Nazis all ihre Energie aufboten, um Millionen Menschen zu ermorden, nur weil sie Juden waren? Mit diesem Problem sieht sich Annette Wieviorka konfrontiert, als ihre 13-jährige Tochter sie nach dem Schicksal einer jüdischen Freundin fragt. Mutter und Tochter sprechen über Antisemitismus, über die Vernichtung der Juden, über das Warschauer Ghetto, über die Frage nach der Schuld und die Pflicht zur Erinnerung.
