The first English-language translation of a classic work of French philosophy
Pierre Macherey Libri
Pierre Macherey è un critico letterario marxista francese il cui lavoro offre una profonda analisi dei testi letterari attraverso una lente marxista. Figura chiave nello sviluppo del post-strutturalismo e del marxismo, il suo approccio esplora come le opere letterarie riflettano le condizioni socio-economiche e i meccanismi ideologici. Il rigore teorico di Macherey e il suo profondo impegno nella relazione tra letteratura e il suo contesto sociale hanno reso il suo lavoro molto influente, in particolare nella teoria letteraria europea.






The collection showcases Pierre Macherey's philosophical writings, highlighting his significant contributions to contemporary thought. Known primarily for his literary criticism, Macherey's work spans various themes and ideas, reflecting his prominence as a leading philosopher in France. This volume offers English readers an opportunity to engage with his original insights and interventions, marking an important addition to philosophical literature.
Who is more important: the reader, or the writer? Originally published in French in 1966, Pierre Macherey s first and most famous work, A Theory of Literary Production dared to challenge perceived wisdom, and quickly established him as a pivotal figure in literary theory. In this provocative work, Macherey puts the focus as much on the reader as the writer, stating that the very act of reading is a form of production in its own right, generating interpretation and meanings which are beyond the control of the author." Part of the birth of a whole new branch of post-structuralist theory, Macherey's work also influenced a new generation of critics - among them Jacques Derrida, his contemporary, and Terry Eagleton. His ideas have also led some observers to claim that he announced 'the death of the author' fully two years before Roland Barthes' famous essay.The reissue of this work as a Routledge Classic brings some radical ideas to a new audience, and argues persuasively for a totally new way of reading. As such, it is an essential work for anyone interested in the development of literary theory.
A Disruptive Generosity
- 208pagine
- 8 ore di lettura
It can seem like all you ever hear these days is bad news. Yet in the midst of contentious political posturing and stories of communities in trouble are stories of love, reconciliation, and restoration. Through a variety of innovative programs and initiatives, and flying mostly under the national news radar, Christian business leaders are bringing hope to blighted urban communities in our greatest cities. A Disruptive Generosity shares their inspiring stories. From Dallas to New York City, from London to Singapore, lives and communities are being changed through strategic stewardship. These stories will challenge marketplace Christians to find innovative ways to use their resources as God's hands and feet in a hurting world.
Reading Capital
- 384pagine
- 14 ore di lettura
This work represents a significant shift in French intellectual thought, challenging traditional interpretations of Marx. It offers a fresh perspective that re-evaluates Marxist theory, encouraging readers to reconsider established beliefs and engage with new ideas. The text is pivotal for those interested in philosophy, political theory, and the evolution of Marxist thought.
Erudycyjna, filozoficzna rozprawa na temat norm, rzucająca nowe światło na takie pojęcia jak postęp i reakcja; narzucająca zupełnie nowe myślenie o polityce.
Hegel ou Spinoza
- 263pagine
- 10 ore di lettura
Hegel ou Spinoza, et non Hegel et Spinoza : la question n'est pas ici de procéder à la comparaison entre des auteurs et des systèmes, enfermés une fois pour toutes dans les limites de leur sens, qu'on pourrait tout au plus identifier et exhiber dans un commentaire purement théorique. Ce qui vient au premier plan, c'est leur active confrontation, celle de doctrines irréductibles. Entre Hegel et Spinoza, quelque chose se passe, et c'est la connaissance de cet événement qui peut nous faire avancer dans la connaissance de l'histoire de la philosophie, c'est-à-dire dans la connaissance de ce que c'est pour la philosophie que d'avoir une histoire. Hegel a lu Spinoza, et il ne l'a pas compris. Ce fait bien connu présente quelques particularités étonnantes. D'abord, l'étrange fascination que Hegel éprouve à l'égard de Spinoza, dont il fait son principal interlocuteur philosophique. Surtout, il y a ceci : en dépit de la méprise en quelque sorte systématique commise par Hegel sur la lettre du spinozisme, il y a une reconnaissance paradoxale de la position singulière que celui-ci occupe, à laquelle Hegel oppose une constante dénégation. Tout se passe comme si Hegel avait vu dans Spinoza la limite de son propre système. De ce point de vue, les perspectives traditionnelles se renversent : Hegel lecteur de Spinoza, c'est aussi et surtout Spinoza lecteur de Hegel. On dit souvent, pour expliquer ou excuser les erreurs de lecture de Hegel, qu'il a mieux compris Spinoza que celui-ci ne s'était compris lui-même et qu'il a lu dans son texte au-delà de ce qui y était écrit. Et si c'était Spinoza qui déjà avait mieux compris Hegel? -- Back cover
« S’intéresser aux « thèses » sur Feuerbach, les lire au sens fort du terme, pour leur faire dire le maximum de ce qu’elles peuvent énoncer, tout en évitant le risque à tout moment menaçant de la surinterprétation, ce n’est pas attendre qu’elles délivrent un message dont la teneur achevée puisse être pour toujours enregistrée et consommée, mais c’est plutôt y voir le témoignage d’un véritable acte de pensée, qui tire de ses incertitudes la force d’avancer, à ses risques et à ses frais, dans une direction non préalablement fixée, et qu’il vaut la peine de prendre au mot. C’est précisément ce que je me suis proposé : saisir ces « thèses » au vif de leur(s) mot(s), et par là, peut-être, arriver à mieux comprendre ce que parler et penser veulent dire, lorsqu’ils sont pratiqués au point de leur plus haute tension, dans une perspective qui, dirait peut-être Marx, ne soit pas seulement d’interprétation, mais aussi de transformation et de réel changement. »