Miranda ha preso il volo
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Die letzten Tage des Sommers in einem kleinen Küstenort am Atlantik - Claire und Alexandre besuchen den komischen kleinen Zirkus, der nur noch heute in der Stadt ist. Seine einzige Attraktion ist Miranda, die „Dickste Frau der Welt“. Die Kinder sind völlig gebannt von ihr. Und als Miranda erzählt, dass sie noch nie das Meer gesehen hat, ist ihnen klar: Miranda muss entführt werden. Von der Gewinnerin des Jugendliteraturpreises 2006
Un relais d'autoroute, un jour de grand départ, un 30 juillet de canicule. Un endroit de fête ! Avec cafétéria, self-service, lavabos, mini-supermarché, gadgets ! Un endroit grandiose ! Un vrai village sur un pont suspendu ! Un endroit de repos, de détente, le moment où les vacances n'ont jamais été si proches... C'est ce que disent les parents. Un endroit sinistre, où les gens sont tous laids à cause de la lumière électrique des néons, où les mots joyeux sonnent faux, où des chiens, des vieux, des gêneurs sont abandonnés tous les ans. Parce que les adultes fatigués de leur année de travail ont envie " de se retrouver, de se ressourcer, de réapprendre à s'aimer ". Seuls. C'est ce que pense LiIi. Une gêneuse, elle a le sentiment d'en être une, depuis qu'elle a entendu son père dire que " même un gosse malade, les parents sont trop contents de s'en déba... " Alors, quand elle aperçoit un grand chien noir à poils longs, sale et fatigué d'avoir espéré, d'avoir couru après ses maîtres, elle le regarde, elle le comprend. Et elle se met à sa place.
Sommerferien, brütende Hitze, Blechlawinen auf der Autobahn. Lili und ihre Eltern sind auf dem Weg ans Meer. Da, endlich, eine Raststätte! Die Eltern sind froh, doch für Lili wird diese Reisepause zur Katastrophe - denn plötzlich sind die beiden spurlos verschwunden.
Il a tout essayé, rien n'y fait : Butter est malade de son poids. Et sa vie est devenue un enfer, avec les autres et avec lui-même. Alors pour en sortir, il lance un défi désespéré sur Internet : le 31 décembre, en direct, il mangera, mangera, mangera, jusqu'à ce que tout soit terminé.
La quatrième de couverture indique : Qu'est-ce qui fait grandir ? C'est une question qu'on ne pose pas souvent. Ni aux autres ni à soi-même. Ou alors, on la pose trop tôt. Ou bien trop tard. Au début de cette histoire, un fils la pose à sa mère en sortant du collège, à cette heure qu'il n'appelle plus l'heure des mamans depuis longtemps. La mère, justement, a quelque chose à lui dire à ce sujet. Une histoire à lui raconter. Un secret qu'elle garde enfoui en elle depuis vingt ans. Une des ces histoires qui l'ont fait grandir, elle, quand elle était seulement un peu plus jeune que lui et qu'elle ne s'appelait pas Maman mais Sophie. Tout avait bien commencé. Un voyage en train avec sa mère. Un luxe rare pour cette fille de famille nombreuse. Une semaine de vacances à la montagne avec sa tante et ses cousins, dans leur résidence secondaire. Une maison belle et vaste. Des objets précieux. Des gestes déliés. Des habitudes très différentes. Des libertés. Des richesses. Au point que Sophie s'était mise à regarder sa mère, sa modestie, sa rigueur, ses principes d'un oeil nouveau, presque réprobateur. Et qu'en rentrant, elle n'avait qu'une hâte : retrouver sa tante. Si elle avait su.
Granninouchka écrit à Gaspard, son petit-fils, pour lui raconter ce qui vient de lui arriver. Une aventure étrange, désagréable, mais qu'elle essaie de prendre avec humour. Aventure qui devient plus étrange encore quand elle découvre au fond du parc de la maison de soins où elle se trouve (enfermée ?) un petit pavillon que squatte un enfant ? Une famille ? Des fantômes ? Elle ne sait pas, elle ne sait plus. C'est peut-être ça le problème : elle perd la tête ?