Ce cantique explore un dieu obscur à travers un chant irréligieux, mêlant pulsions de vie et de mort. Les phrases, en quête de sens, révèlent un univers onirique où le refoulé émerge. Ce chant joue sur des juxtapositions de mots pour exprimer malaise et déformation du monde sensible.
La poésie explore la frontière entre le Dehors et le Dedans, créant des espaces autonomes où les mots deviennent des organes vivants. Elle réagit à l'envahissement en électrisant les images et en posant des questions sur le sens des mots, laissant entrevoir des phrases ouvertes qui suggèrent une fin illusoire.